LEGENDES DES TABLEAUX DE LA RESERVE 4 (comprenant aussi ceux déjà présentés dans leur galerie spécifique) |
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REF.
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DOCUMENTATION
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43.16 | Pas de renseignements. |
43.21 | Pas de renseignements. |
43.22 | Pas de renseignements. |
43.24 | Pas de renseignements |
43.25 | Pas de renseignements. |
43.26 | Pas de renseignements. |
43.31 | Pas de renseignements. |
43.32 | Pas de renseignements. |
43.34 | Pas de renseignements. |
43.35 | Pas de renseignements. |
43.36 | Louis XVII, reproduction grandeur nature de l'original imprimé sur soie. Collection Otto Friedrich. Peint par le Comte de NOVION et gravé par L.A. CLAESSENS. Lambertus Antonius CLAESSENS, dessinateur et graveur, né à Anvers en 1764, mort à Rueil près de Paris en octobre 1834. Ecole belge. |
43.41 | Portrait de Louis XVII d'après un dessin du Comte de NOVION, gravé par L.A. CLAESSENS. Epoque 1793, mais d'après le type fin 1789. Estampe qui fut, à partir de 1793, très répandue en Vendée (132 mm x 94 mm). Elle a été fréquemment éditée aux dimensions réduites et avec variantes. Ainsi au lieu de larmes, on trouve des fleurs de lys aux quatre coins. L'écusson varie de même. Enfin, l'inscription "veille sur lui, Grand Dieu qui sauvas son enfance !" ! est souvent ainsi modifiée : "Tu sauvas son enfance !". |
43.42 | Le Dauphin arraché à sa famille d'après le tableau de BENAZECH, gravé par SCHIANOVETTI. |
43.43 | Gravure anglaise représentant Louis XVII en costume de sacre. Cette gravure comporte une dédicace qu'il convient de relever : A son altesse royale, le Prince Régent (époque révolutionnaire), 1814, par N. HEIDELOFF. Nicolas HEIDELOFF, graveur et dessinateur né à Stuttgart en 1761, mort à La Haye le 2 mars 1837. Ecole allemande. Il séjourna à Paris quelque temps et y travailla la gravure et la miniature. Au moment de la Révolution, il passa en Angleterre et s'occupa d'illustration pour le compte des éditeurs ACKERMANN. |
43.44 | La légende se déchiffre difficilement : si elle est écrite en anglais "The Dauphin ..." il s'agit du dauphin imaginé en costume de sacre. Gravure anglaise de 1794. La représentation de l'enfant est très idéalisée) |
43.45 | Voir DJX50. |
43.46 | Pas de renseignements. |
43.51 | Voir DJX95 D28 |
43.52 | Pas de renseignements. |
43.53 | Pas de renseignements. |
43.55 | Pas de renseignements. |
43.61 | Gravure anglaise (233 x 175 mm = dimension de la planche - image seule = 175 x 146 mm). On lit au travers de la citation de l'Exode : "Louis XVII, Rex Galliae". Cette gravure a été tirée en noir, en couleur et dans toutes les teintes. |
43.63 | Pas de renseignements. |
43.64 | Pas de renseignements. |
43.73 | Louis XVII d'après une gravure emblématique de 1816 faisant allusion à l'évasion. |
de 43.75 à 44.35 | Ces gravures comportent leur légende mais difficile à déchiffrer. |
44.36 | Voir DJX75. |
44.41 | Gravure en couleur (dimensions du rectangle 111 x 88 mm). Il existe de cette curieuse et médiocre estampe des éditions en noir et en couleur dont la plupart semble dater de la Restauration. Elle est faite d'après un tableau exécuté lui-même d'après nature, fort belle peinture sur émail provenant des collections de la Duchesse de Berry (Château de BRUNNSEE STYRIE) et appartenant (en 1913) à SAR Madame la Princesse Béatrice de Bourbon Parme, Comtesse Lucchesi-Palli. |
44.42 | Pas de renseignements. |
44.76 | Pas de renseignements. |
45.12 | Miniature sur ivoire, fond brunâtre, réplique du type d'un portrait qui semble avoir été fort répandu. Epoque automne 1789. Les cheveux de l'enfant sont longs et séparés par une raie au milieu de la tête. Musée Carnavalet. Collection révolutionnaire. Legs FABRE de LARCHE. |
45.21 | "Louis Seize s'occupant de l'éducation de son fils dans la Tour du Temple. Eau forte 0,542 x 0,400. Bibliothèque nationale.Il exsite au Musée Carnavalet une estampe semblable gravée par MORSE d'après le même tirée du Journal de Cléry sous le titre "la leçon de géographie". |
45.22 | Estampe royaliste qui semble avoir été répandue surtout en Vendée (140 mm x 90 mm), époque 1793. Bibliothèque nationale. |
45.25 | Voir PRD16 en haut à gauche. |
45.31 | Effigie "au physiocrate". Louis XVII enfant. |
45.41 et 41/2 | Pas de renseignements. |
45.53 | Pas de renseignements. |
45.54 | Pas de renseignements. |
E1 38.72 | Voir fiche N°2, le peintre KURCHARSKY. |
E1 38.73 | "Dessin aux crayons de couleur" (350 mm x 250 mm). Une double mention tracée anciennement au crayon et recopiée depuis à l'encre au revers du cadre porte : "Pourtré de Louis Capet, fait par le citoïen Lucas, en l'an 1791, le 26 febvrier". Mais le terme seul de "Louis Capet" indique que la mention n'a pas été écrite sur l'heure. Nous croyons qu'il faut lire : 1792. L'enfant, en effet, porte un "habit", or, il n'en a pas encore vers la fin de 1791. Au contraire, à partir de 1792, il sera constamment représenté en habit. Jean-Paul LUCAS, peintre mort à Toulouse en 1808. Ecole française. Il fut l'organisateur du Musée de Toulouse. |
E1 38.74 | Voir PRD39 en bas à gauche. |
E1 38.75 | Miniature sur ivoire, grisaille sur camaïeu, fond bleu par SAUVAGE. Appartenait à Mr Alfred PROST. Piat ou Pieter Joseph SAUVAGE, peintre de fleurs et de natures mortes, peintre sur porcelaine et sur émail et sculpteur, baptisé à Tournai le 19 janvier 1744, mort dans la même ville le 11 juin 1818. Ecole flamande. |
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